1ers émois et découverte du caoutchouc


From the age of 12 - 13 years I wore the red boots of my older sister to go to school, from a large family and to save money my mother recycled clothes and shoes we redistributing years After years as far as I can remember I have inherited the effects of my older sister who was two years older, either the sweater, wool tights we servings in our pants in winter, waxed and rain boots rubber, very young so I took the habit of wearing his affairs, the sexual connotations did not arrive until about age 12 at 1st my emotions, the intense red of my boots and it fascinated me contrasted with black soles, whenever j'héritais boots my sister it was the largest two sizes, this fading over the months, my mother made me put big socks to compensate for the difference in size but I removed quickly to put them on bare feet to better feel the folds of the stems too large on my calves, except that my feet floating in the sound of typing flexible stalks against my legs when I walked terribly exitation

Dés l'âge de 12- 13 ans je portais les bottes en caoutchouc rouges de ma soeur ainée pour aller à l'école, issu d'une famille nombreuse et par souci d'économie ma mère recyclait vêtements et chaussures en nous les redistribuant années aprés années, aussi loin que je me souvienne j'ai toujours hérité des effets de ma soeur ainée qui avait deux ans de plus, que ce soit les pulls, collants en laine que nous portions sous nos pantalons en hiver, cirés de pluie et bottes en caoutchouc, trés jeune donc j'ai prit l'habitude de porter ses affaires, la connotation sexuelle n'est arrivée que vers l'âge de 12 ans lors de mes 1ers émois, le rouge intense de mes bottes me fascinait et ça contrastait avec les semelles noires, chaque fois que j'héritais des bottes de ma soeur elles était plus grandes de deux pointures, ça s'estompait au fil des mois, ma mère me faisait mettre de grosses chaussettes pour compenser la différence de pointure mais je les enlevais vite fait pour les enfiler pieds nus afin de mieux sentir les pliures des tiges trop larges sur mes mollets, en dehors du fait que mes pieds flottaient dedans le bruit des tiges souples tapant contre mes jambes quand je marchais m'exitait terriblement ..

Very soon I took my passion for red boots, color female exellence happiness I felt this not to like everyone (my friends wore black boots or blue), I was still troubled by these feelings Epidermal but I felt I had no shame, quite the contrary I felt proud to have feet of boots that my sister had, I remember my prayers in the morning when I wake up to make it a rainy day also to put the waxed plastic, these days there I was thrilled and cheerful to go to school, before leaving I went through the laundry room to remove my socks, it was an indescribable mixture Epidermal sensations, I do almost left, hardly worn because my sister does not put often I felt well protected, they held my feet warm in winter and in summer the sun soften rubber ..

I wore both my leisure to go to school, living in a small rural village celà does not shocked adults, I was against at room often by my friends and it was then that I I became aware that bullying and humiliation which I was the subject gave me strange thrill of pleasure, I very quickly came to consciously cause my friends to endure this kind of harassment .

Trés vite je me suis pris de passion pour mes bottes rouges, couleur féminine par exellence je ressentais ce bonheur de ne pas faire comme tout le monde (mes camarades portaient des bottes noires ou bleues), j'étais quand même troublé par ces sensations épidermiques que je ressentais mais je n'en avais pas honte, bien au contraire je me sentais fier d'avoir aux pieds des bottes que ma soeur avait porté, je me souviens de mes prières le matin en me réveillant pour que ce soit une journée pluvieuse afin d'enfiler aussi le ciré en plastique, ces jours là j'étais aux anges et tout enjoué d'aller à l'école, avant de partir je passais par la buanderie afin d'oter mes chaussettes, c'était un mélange indescriptible de sensations épidermiques, je ne les quittais pratiquement plus, à peine usées car ma soeur ne les mettaient pas souvent je me sentais bien protègé, elles me tenaient les pieds au chaud en hiver et en été le soleil ramollissait le caoutchouc..

Je les portais aussi bien pour mes loisirs que pour aller à l'école, vivant dans un petit village rural celà ne choquait pas les adultes, par contre je me faisais chambrer bien souvent par mes camarades et c'est à cette époque que j'ai prit conscience que les humiliations puis les brimades dont j'étais l'objet me donnait d'étranges frissons de plaisir, j'en suis trés vite arrivé à provoquer consciemment mes camarades pour subir ce genre de vexations..

12 commentaires:

Anonyme a dit…

Moi j'aimais les pèlerines caoutchoutées que ma mère me mettait les jours de pluie pour aller 0 l'école, malgré mon jeune âge, elles provoquaient une grande sensation sexuelle, qui me plasait Que je ne savais définir, il en étant était de même pour l'alaise protégeant mon matelas,et la culotte en caoutchouc obligatoire pour les grandes sorties et pour dormir.

Anonyme a dit…

J'ai faut pipi au lit jusqu'à 16 ans. ma mère ne tenait pas compte de mon âge, malgré ma gêne, me mettait la couche, et la culotte en caoutchouc, et gare à moi si je m'avisais de dire quelque chôse ou retirer mes protections durant la nuit. Ma mère m'administrait des ces fessées dont j'ai encore mémoire à 74 ans. Mes principales pulsions sexuelles étaient et sont toujours dûes au caoutchouc.

Anonyme a dit…

J'aimais aussi les bottes en caoutchouc je ne les gardais pas à la maison. on appelait les pèlerines capuchons. les garçons comme les filles pouvait en porter jusqu'à 18 ans on en trouvait dans les grands magasins. aussi chez C C C Comptoir Commercial du Caoutchouc à Paris pour acheter mes culottes, alaises, capuchons, ma mère disait bien fort que les culottes en caoutchouc étaient pour moi, car à 16 ans je faisais toujours pipi au lit. Elle mettait devant moi la culotte pour voir si elle était à ma taille J'avais droit aux sourirs narquois ou compassés des vendeuses et des clients présents. ma mère tous les matins mettait mon alaise en caoutchouc à la fenêtre, et les culottes sur un fil dans le jardinet donnant sur la rue. Il m'ait arrivé d'éjaculer dans le tablier en caoutchouc de ma mère quand elle me lavait, elle ne disait rien en éssuyant les taches.

Anonyme a dit…

Nous avions derrière la maison un jardin sans voisins. ma mère m'y envoyait tout nu les jours de beau temps, pour éviter les rougeurs dûes au pipi. je n'avais que mes bottes en caoutchouc brun. je n'avais pas le droit de rentrer dans la maison, j'appelais et ma mère ou la bonne me mettait une couche et une culotte en caoutchouc. Quelques pipis parterre, me valurent des fessées cuisantes. Adolescent la bonne me prenant contre elle me masturbait dans la culotte en caoutchouc avant de me mettre la couche, j'aimais beaucoup cela, éjaculer contre le caoutchouc me procurait un plaisir intense, la bonne me racontait des cohoneries. quand j'allais au lit pour m'empêcher de me retenir, la bonne m'enfoncait l'index de la main gauche dans le derrière, et me masturbait de l'autre main. Plus tard j'ai eu quelques aventures dans le caoutchouc, ce sera un autre récit.

Anonyme a dit…

depuis une vingtaine d'années ma nounou, après m'avoir mis ma couche et ma culotte d'incontinence me fait coucher sur une grande alèse en caoutchouc rouge qui part de dessus l'oreiller, descend jusqu'aux pieds, et remonte contre mon ventre jusqu'au menton, je suis emmailloté, ficelé comme un saucisson aux pieds au ventre à la poirine. Bien que je n'ai plus de chaleurs, elle m'attache les poignets aux bords du lit, pour me dit-elle m'empêcher de tripoter mon sexe comme un cochon. Cela m'énerve et méxcite en même temps. La nounou pour me faire plaisir, me met une pèlerine caoutchoutée comme celles de mon enfance, avec en dessous juste une couche et la culotte imperméable. Je n'ai pas d'aller seul aux toilettes pour les matières elle reste à côté de moi, de peur que je me touche, quand je voulais faire pipi, elle me disait toujours, je n'ai pas le temps fais pipi dans ta couche je te changerai plus tard, alors j'ai pris l'habitude de ne plus demander. Ma nounou me rase les poils à l'entre-jambes disant que les poils étaient pour les hommes et non aux bébés comme moi qui font pipi au lit. Tout cela me plaît, la nounou m'a dit de toutes façons 'si cela ne te plaît pas c'est parreil'

Anonyme a dit…

quelle chance de pouvoir aller à l'école avec des bottes en caoutchouc rouge.ça ne m'ai jamais arrivé ,maintenant j'ai une paire de Hunter rouge mais je n'ose pas les porter à l'extérieur

Anonyme a dit…

The excitement of wearing rubberboots without socks has been with me since childhood .It was a secret passoin ; like you I would remove my socks after leaving the house and put them back on when returning home .New rubberboots would always be too big , wear an extra pair of socks I was told but I did not want to wear any socks in my rubberboots .
When I grew older the excitement became of a sexual nature .Not understanding it was more reason to keep this rubberboot passion a secret. As an adult I learned my secret passion is called a fetish : my fetish is wearing rubberboots on bare feet .
Going onto the internet I discovered that I was not alone . There are many rubberboots fetishists , all over the world , and a small portion of them enjoy the special feeling of wearing them on bare feet .
wellingtons53@yahoo.com

Anonyme a dit…

J ai moi aussi toujours aimé mes "culottes caoutchouc" comme on disait, et aujourd'hui encore à plus de 50 ans, j'aime en porter. mon meilleur souvenir: une amie que j'ai fréquenté et qui portait également ce genre de culotte. un jour, je n'avais que ça sur moi et elle m'a caressé, léché au travers du plastique jusqu'au plaisir. j'en ai encore des frissons!!

Anonyme a dit…

quel plaisir de coucher sur une belle alaise rouge tout en caoutchouc et se frotter dessus wow

Micheline a dit…

moi mes premières sensations caoutchoutées sont venues avec les vêtements de ma mère à la poissonnerie elle portait de grand tablier en latex et des bottes en caoutchouc blanc que j'enfilais lorsqu'elle avait le dos tourné jusqu'au jour où elle m'a surpris Elle n'a rien dit mais à partir de ce jour pour être dans la maison je devais mettre mon tablier en latex et enfiler mes bottes et lorsque tous les deux nous allions à la maison de campagne je portais un superbe ciré jaune et une jupe en vinyle qu'elle m'avait confectionnée.Aujourd'hui encore il m'arrive de porter les vêtements de ma mère aujourd'hui disparue

Micheline a dit…

moi mes premières sensations caoutchoutées sont venues avec les vêtements de ma mère à la poissonnerie elle portait de grand tablier en latex et des bottes en caoutchouc blanc que j'enfilais lorsqu'elle avait le dos tourné jusqu'au jour où elle m'a surpris Elle n'a rien dit mais à partir de ce jour pour être dans la maison je devais mettre mon tablier en latex et enfiler mes bottes et lorsque tous les deux nous allions à la maison de campagne je portais un superbe ciré jaune et une jupe en vinyle qu'elle m'avait confectionnée.Aujourd'hui encore il m'arrive de porter les vêtements de ma mère aujourd'hui disparue

Anonyme a dit…

J'ai aujourd'hui 66 ans et la pèlerine en caoutchouc m'a toujours accompagné depuis mon enfance,encore plus fortement aujourd'hui ou j'ai du temps libre.Le parfum de la matière est enivrant pour moi,le fait de fermer lentement tous les boutons et de serrer bien fort les cordons du capuchon m’excite terriblement. Sortir dans la rue ne me gêne plus vraiment: Les gens aujourd'hui se fichent des autres, et cette indifférence facilite beaucoup le port de la pèlerine dans la rue. Le plaisir est à son comble, lorsque mon pénis décalotté vient frotter sur le caoutchouc à chaque pas !
Sous une bonne petite pluie,et dans un endroit discret, je fais alors sortir mon sexe entre deux boutons, il faut peu de temps pour que le plaisir soit à son comble. Je regarde alors mon sperme couler lentement sur ma pèlerine !

Enregistrer un commentaire